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Nos ados chéris

Fini les heures passées dehors à faire des trous dans la terre juste pour creuser avec les Playmobils maintenant c’est plutôt entraînements de foot, matchs de foot et rando VTT.

Fini « Sam le Pompier » ou « Ariol » maintenant c’est plutôt Youtube et Fifa.

Fini les « je peux t’aider à cuisiner ce soir Maman ? » maintenant c’est plutôt « je veux bien mettre la table mais alors c’est pas moi qui débarrasse ! »

Fini mon petit bébé potelé maintenant je suis la maman d’un grand ado tout musclé.

Avec les changements de centres d’intérêt, les transformations physiques viennent aussi les grands questionnements, comme :

« Moi, je ne sais pas ce que j’ai envie de faire comme métier, du coup Maman, tu crois que c’est mieux de partir en lycée général ou professionnel ? »

« Hier on a fait une minute de silence pour la prof qui a été assassinée mais pourquoi on n’a pas fait une minute de silence pour tous les morts après le séisme en Turquie et en Syrie ? »

« Pourquoi vous êtes les seuls à avoir deux vrais jours de congés par semaine, moi pendant mon weekend je dois passer pratiquement un jour sur les deux à faire mes devoirs pour la semaine suivante et pourtant j’ai besoin de repos aussi, de m’amuser et de m’aérer et pendant les vacances scolaires c’est la même. »

Et là, outre le fait que je suis tellement fière de mon grand garçon, je me rends compte que mon enfant grandit et qu’il se questionne sur le monde et le rôle qu’il va y jouer.

Ce n’est plus seulement leur place au sein de la famille que nos adolescents cherchent mais leur place dans ce monde. Pour grandir, pour se sentir bien dans sa peau, pour prendre le bon chemin vers une vie d’adulte épanoui, il faut pouvoir s’appuyer sur des bases solides. Bien sûr les bases solides c’est d’abord nous, les parents et l’éducation que nous donnons à nos enfants.

Pour moi, ce sont aussi les lieux où nos enfants vivent et évoluent chaque jour : la maison, l’établissement scolaire, le club de sport… Ces lieux laissent aussi leur marque dans la vie de nos enfants.

Et ce que nous expérimentons moins c’est comment les lieux de vie peuvent aider nos enfants à grandir sereinement, à apaiser des angoisses, à franchir des caps ou au contraire à prendre leur temps. Les énergies qui vibrent dans la maison de famille vont influencer les humeurs de ses habitants, et nos enfants y sont très réceptifs.

Personnellement, l’analyse et l’application des remèdes Feng Shui aux énergies de notre maison de famille m’a permis de régler des conflits qui s’installaient entre moi et ma fille, de solutionner des problèmes de sommeil ou encore de créer un véritable lien de fratrie entre nos deux enfants.

Le Feng Shui ce n’est pas magique c’est actif. En tant que praticienne Feng Shui je travaille avec les énergies des lieux pour les dynamiser, les apaiser ou les équilibrer en fonction des problématiques rencontrées par la famille.

Avec l’accompagnement 🌿 GRANDIR 🌿 je vous initie au Feng Shui de votre lieu de vie pour que vous puissiez écouter, comprendre et interagir avec lui en fonction de ce que vous vivez d’inconfortable au sein de votre foyer à un moment donné.

Ne vous privez pas du soutien que votre maison peut vous apporter pour aider vos enfants à grandir et votre famille à vivre en paix.

#grandir #enfant #famille #ado #parentalite #adoption #fengshui #lieudevie #energiedeslieux

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Une tornade dans notre vie

Laissez-moi vous raconter notre aventure d’adoption lorsque nous sommes partis à la rencontre de notre fille en Haïti :

“Nous commençons notre descente sur Port au Prince. La descente n’en finit plus. En fait, il y a un gros orage sur la ville. Le pilote tourne autour de la capitale haïtienne. Finalement, il tente le coup, il décide de se lancer dans l’orage, nous aurions dû atterrir depuis déjà de longues minutes, il ne peut plus prendre davantage de retard. L’avion tremble, tressaute, nous sommes très secoués, les autres passagers commencent à crier à chaque secousse. Par le hublot, je vois les éclairs qui ne s’arrêtent plus, j’ai rarement vu une tempête d’aussi près, nous sommes au cœur de l’orage. L’avion ne se stabilise toujours pas, j’ai peur, mon mari aussi, il me dit “c’est peut être notre heure!”. A cette phrase, je ne peux m’empêcher de rire, le stress sûrement. Les enfants à bord pleurent, certains crient. Un dernier virage, je vois la piste, il me semble que l’aile de l’avion va toucher le tarmac, mais non le pilote redresse l’appareil au dernier moment, les roues touchent le sol, nous avons atterri sains et saufs. Le pilote est applaudi comme une star.

Il fait nuit noire ici à Port au Prince, pourtant il n’est que 19h heure locale et nous sommes le 13 juillet.

Dans l’aéroport, je règle les 10 dollars de taxe touristique, j’ai mal rempli le carton vert, il ne fallait rien inscrire au dos, je dois les refaire, nous passons finalement le contrôle. En tout, nous avons dû montrer nos passeports 5 fois avant de pouvoir sortir. Nous récupérons nos valises chargées de cadeaux et de vêtements pour tous les enfants de la crèche, et nous nous dirigeons vite dans le hall de l’aéroport pour retrouver la personne qui doit nous attendre.

Les portes du hall s’ouvrent, des chauffeurs de taxi nous interpellent, un d’entre eux a une pancarte mais ce n’est pas pour nous. Nous sommes devant la sortie et personne, personne ne nous attend. Je me souviens alors des recommandations de la présidente de notre association d’adoption : “Surtout, ne sortez pas seuls de l’aéroport, attendez que l’on vienne vous chercher!”. Mais il n’y a personne. Je rallume mon portable et je trouve le numéro de notre avocate sur place, je l’appelle, elle décroche et au même moment son chauffeur arrive pour nous escorter jusqu’à sa voiture. Après confirmation de nos identités respectives, nous le suivons la tête baissée et d’un pas rapide. L’ambiance est pesante dans cette allée pour quitter l’aéroport et arriver jusqu’au parking. Nos valises sont trop grosses elles ne passent pas toutes les deux dans le coffre, on charge donc la deuxième à l’arrière avec nous. Nous sommes assis dans un beau 4X4 flambant neuf, notre avocate qui a fait elle-même le déplacement demande à son chauffeur de verrouiller les portières.

Engagés sur l’autoroute à la sortie de l’aéroport, on nous explique qu’il n’avait pas plu depuis 4 mois. La circulation est compliquée, nous n’avançons presque pas, j’ai du mal à croire que nous sommes réellement sur une autoroute, les égouts sont bouchés et la chaussée est complétement inondée, il y a de l’eau jusqu’en haut des pneus.

Le chauffeur veut gagner du temps, il décide de quitter l’autoroute pour prendre un raccourci. Nous entrons alors dans un vrai labyrinthe de petites routes à peine goudronnées et non éclairées. Le stress monte, il fait vraiment nuit noire. Tout à coup, un gros bruit, un temps pour comprendre de quoi il s’agit : c’est notre valise, elle a été expulsée du coffre sûrement mal fermé et gît là au milieu de la route, on la distingue à peine, une voiture, derrière nous, manque de rouler dessus. Mon mari sort de la voiture, la replace dans le coffre qu’il claque franchement cette fois, remonte à côté de moi et nous repartons.

Nous arrivons bien plus tard à l’hôtel où nous allons séjourner pendant les 15 jours de sociabilisation prévus dans la procédure d’adoption de notre fille. Le chauffeur annonce notre arrivée devant l’hôtel à grands coups de klaxons, le gardien qui a compris le code apparemment baisse son fusil à pompe et nous laisse entrer. En même temps, notre avocate nous vante la sécurité de l’hôtel et nous assure que nous allons y être bien.

Nous nous quittons à l’accueil, le chauffeur reviendra demain matin pour nous amener à la crèche et nous pourrons enfin te voir ma fille!”

Voici donc les instants qui ont précédé la rencontre avec notre fille. Cela présageait d’une adoption mouvementée et ce fut le cas.

L’arrivée d’un enfant, c’est comme une tempête dans nos vies, nous passons parfois par beaucoup de stress. Si nous nous mettons en posture d’accueil, les épreuves du départ deviennent vite des apprentissages et des souvenirs mémorables.

#accueil #accueillir #bébé #adoption #viedeparents #accompagnement #enfant #FIV #energie #fengshui

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Patience, quand je te perds !

Depuis toujours, j’ai l’impression que je suis sur Terre pour apprendre la Patience. Il s’agit peut-être d’une dette karmique que j’ai à régler, en tous les cas c’est un peu comme si le Ciel, avant de me donner à naître, avait décidé que je ferais tout moins vite que les autres sur Terre.

Quand j’étais enfant, il me fallait du temps, longtemps pour apprendre mes leçons, pour lire, pour me faire des ami(e)s.

Quand j’étais étudiante, il me fallait du temps, longtemps pour réviser mes partiels, pour trouver des stages, pour tomber amoureuse.

Quand j’ai rencontré l’homme de vie, il nous a fallu du temps, très longtemps avant de fonder une famille (encore en cours de construction…).

Quand j’ai eu 40 ans j’ai enfin trouvé le boulot de mes rêves, longtemps après la fin de mes études…

Alors comme tout n’arrive pas aussi vite que je le voudrais j’apprends à accepter le rythme naturel des choses, mais ce n’ai pas tous les jours facile. J’avance sur ce chemin de la patience notamment grâce à l’astrologie 9KI que j’ai découvert lors de ma formation en Feng Shui Traditionnel.

L’astrologie 9KI est une école des plus anciennes au monde dont le principe de base est celui de l’énergie “ki” qui se déplace au fil des heures, des jours, des mois, des années et qui imprègne l’univers, notre Ciel et agit ainsi sur nous, nos comportements et nos relations avec les autres.

J’utilise donc l’astrologie 9ki pour connaître les énergies qui m’accompagnent au fil des mois et ainsi déterminer le meilleur moment pour agir, et aussi comprendre ce qui m’est donné de vivre à un moment donné et l’accepter.

Il n’est pas question de prédire l’avenir ici ! Car on ne peut rien prévoir mais en décodant les énergies célestes qui nous portent nous pouvons vivre en pleine présence de ce qui est et ce qui est à venir. Finalement c’est ça la PATIENCE.

Je vous dévoile cet outil de gestion du temps dans mon accompagnement “ATTENDRE”

#patience #attendre #gestiondutemps #astrologie #energie #fengshui #parentsconscients #adoption #bébé #FIV

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La parentalité ça se prépare …

Lorsque nous nous sommes lancés, avec mon mari, dans l’adoption la première fois, nous voulions comme beaucoup de jeunes mariés “avoir” un enfant. Nous avions trouvé tellement injustes toutes ces questions et ces entretiens à passer avec les travailleurs sociaux du Conseil Départemental chargé de nous délivrer (ou non) notre agrément d’adoption, véritable sésame pour la suite de l’aventure. Oui INJUSTE car, à l’époque, nous pensions : “Les couples qui ont un enfant naturellement, ils n’ont pas besoin eux de répondre à toutes ces interrogations sur leur future parentalité et l’impact que l’arrivée de l’enfant aura sur leur vie de couple ?!”

Lorsque nous avons entrepris les démarches pour obtenir notre troisième agrément, nous nous sommes préparés à “accueillir” un enfant. Et passer de vouloir “avoir” à souhaiter “accueillir” ça change tout.

Au fil de nos expériences en tant que parents adoptants, ma vision des choses a bien évolué. Là où je voyais auparavant de l’injustice, je vois aujourd’hui une CHANCE, peut-être même une NECESSITE pour tous les futurs parents et pas uniquement les parents qui adoptent, vraiment tous les futurs parents. Si nous voulons être de bons et solides parachutes pour un petit bout’chou qui va être propulsé dans une toute nouvelle vie, il est essentiel de se questionner et de se visualiser dans notre rôle de parents.

Alors loin de moi l’idée de devenir votre coach parental et de vous proposer la formule pour être un parent parfait ! Essayons plutôt de devenir les parents de nos enfants en conscience et connaissance de qui nous sommes en couple et individuellement avec nos forces et nos faiblesses.

Avec le programme CONCEVOIR :

Vous prenez le temps de mieux vous connaître en vous reconnectant aux lieux qui vous ont construits,

Vous prenez le temps de clarifier vos valeurs et vos principes en tant que couple – futurs parents,

Vous prenez ce temps pour planter la graine de votre vie de famille à venir dans une terre fertile.

#parentalité #parentsconscients #concevoir #adoption #bébé #energiedeslieux #maisondenfance #graine #famille #accueillir

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Attendre, comme un long voyage

« Aujourd’hui nous entamons un voyage vers toi mon enfant

Un voyage proche ou lointain

Un voyage sans itinéraire de départ et sans point d’arrivée

Nous partons à ta rencontre

Nous ignorons la durée du trajet

Mais nous avançons déterminés.

Un an a passé, nous ne nous sommes pas rencontrés

Es-tu seulement déjà né ? Dieu seul le sait

Sans toi, nous allons un pas devant l’autre

Sans toi, nous espérons avoir emprunté le bon chemin

Le temps passe, et pourtant ne passe pas

Car tu n’es toujours pas là.

Deux ans ont passé, nous ne nous sommes pas rencontrés

Nous avons tellement de questions te concernant

Mais pour le moment aucune réponse

Es-tu un garçon, une fille ? Où vis-tu ? Que vis-tu ? Comment vis-tu ?

Nous attends-tu ?

Nous t’attendons.

Trois ans ont passé, nous ne nous sommes pas rencontrés

Que la route est longue, que tu nous sembles loin

Et nous rêvons de te voir,

De te serrer dans nos bras, de t’embrasser, te dorloter

Que la route est longue certes mais elle ne s’arrête pas

Non, pas sans toi.

Quatre ans ont passé, nous ne nous sommes pas rencontrés

Nous connaissons maintenant ton pays de naissance

Tu viendras d’Haïti, la perle des Antilles

Tu seras notre trésor des Caraïbes

Les mois, les jours, les heures s’allongent

Nous attendons ton nom.

Cinq ans ont passé, nous t’avons enfin rencontrée

Tout à coup, tout s’est accéléré

Petite brunette en photo nous t’avons tout de suite adorée

Et déjà vers toi nous nous sommes envolés

Nous t’avons serrée dans nos bras, embrassée, dorlotée

Quelle déchirure de devoir repartir sans toi, bébé.

Six ans ont passé, nous ne te quitterons plus jamais

Après de longs mois de procédures, de signatures

Nous avons pu fêter ton départ et ton arrivée

A trois, nous avons remercié et salué ton île

A trois, nous avons fait quatre avec ton frère qui t’entendait

Ici tu vas grandir et toute notre vie nous allons te chérir. »

Poème à ma fille que nous avons attendue pendant 6 ans et qui illumine notre vie de famille depuis maintenant 6 ans aussi. Juste équilibre…

#attendre #adoption #enfant #haiti #procedures #famille #parentalite #poeme

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Je rêve d’avoir un enfant trisomique

Depuis presque 4 ans, mon mari et moi, nous nous sommes relancés dans les démarches d’adoption pour agrandir notre famille d’un troisième enfant. Ce projet d’adoption c’est, en fait, la somme de nos deux aventures d’adoption précédentes.

La petite graine de cet enfant a été plantée lors de nos réflexions pour l’obtention de notre tout premier agrément : la première fois que la question d’adopter un enfant “à particularités” s’est posée. Sommes-nous capables d’ouvrir notre cœur, notre vie de famille à un enfant porteur de handicap ? Avons-nous les épaules pour l’élever et affronter le regard des autres ? Comment savoir ?

Lors de ce premier projet d’adoption, il y a 15 ans maintenant, oser dire à l’assistante sociale : “Non, pour notre premier enfant, nous ne nous sentons pas assez expérimentés pour ouvrir notre projet d’enfant à un bébé différent”. Vraiment, je me souviens encore combien prononcer ces mots m’a coûté et je me souviens aussi de ce sentiment de culpabilité que j’ai ressenti dans mon cœur et dans mon corps à cet instant.

Avions-nous le droit de choisir ou plutôt de refuser le handicap pour notre enfant à venir ?

Aujourd’hui, je déculpabilise et je dis OUI ! Nous en avions même le devoir pour le bien-être de cet enfant à venir. Je crois qu’il est primordial dans l’adoption de CONCEVOIR son projet sur des bases solides et qu’il faut avant tout être en accord avec soi-même à ce moment-là en reconnaissant ses propres limites.

L’adoption ce n’est pas la solution pour être parents à tout prix. L’adoption, pour moi en tant que maman, ce sont deux histoires de vie qui sont réunies, celle de parents et celle d’un enfant. Et c’est un véritable défi de composer avec ces deux histoires pour offrir un cadre serein à cet enfant qui va grandir au monde.

A l’image d’un algorithme, il est essentiel de saisir toutes les données réelles de départ au moment du projet d’adoption si vous voulez que l’adoption de votre enfant réussisse. C’est exactement pour ça que j’assume d’avoir dit non au handicap pour notre première adoption.

Lors de notre deuxième agrément, la question de l’enfant à besoins spécifiques s’est à nouveau posée. Notre fils ayant grandi, nous nous sentions un peu plus solides pour accueillir un enfant handicapé. C’est à ce moment-là que nous nous sommes beaucoup renseignés sur la Trisomie 21 et pourtant nous n’avons pas sauté le pas et nous avons obtenu notre agrément avec une notice précisant que nous étions ouverts à un enfant porteur d’un handicap physique mineur. L’Univers nous a finalement envoyé une petite fille en pleine forme !

Ces 15 années de réflexion et d’expériences de la parentalité ont donc été nécessaires pour faire pousser cette graine qui est aujourd’hui notre souhait le plus cher : accueillir un enfant porteur de Trisomie 21. Nous déposons donc notre projet dans l’algorithme divin de l’adoption avec l’espoir d’être comblés pour la 3e fois en tant que parents.

#concevoir #adoption #enfant #trisomie21 #downsyndrome #famille #parentalite #handicap

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A propos de moi et ma famille

Bonjour, moi c’est (Laë)Titia Majola.

Avant j’étais une salariée irréprochable, perfectionniste, souriante. Mais le hic c’est qu’il me manquait toujours quelque chose, j’avais l’impression de faner de l’intérieur. Ca c’était avant!

Entre temps, mes enfants sont arrivés et il a fallu s’adapter, jongler (moi qui n’ai jamais su rattraper un ballon), et plus j’essayais de jouer à la mère parfaite plus j’avais l’impression d’échouer.

Et là STOP j’ai dit stop. Je me suis arrêtée de courir dans cette vie qui n’était pas faite pour ma famille.

Ce sont eux, mes enfants, les enfants qui m’ont fait comprendre que ma vie méritait mieux que ça, ben simplement parce qu’on n’en a qu’une et qu’il ne s’agit pas de la gâcher.

Tous les jours je fais en sorte de réussir ma vie plutôt que réussir dans la vie. Je fais un métier qui me passionne, je conseille sans imposer, je reste moi-même et je prends du temps pour mon entourage (enfants, mari, amis) qui en retour me nourrit.